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Au cœur de l'essor de la construction en Arabie saoudite : trois points clés
13 octobre 2025
En résumé, tout ce que vous devez savoir sur le secteur de la construction en Arabie saoudite peut être glané lors du trajet entre l'aéroport et la capitale, Riyad. Sur ce trajet d'environ 35 km, même les plus inattentifs seront frappés par l'ampleur des travaux de construction en cours.

Et il ne s’agit pas seulement de travaux de construction à petite ou moyenne échelle, comme de nouveaux immeubles de bureaux ou des parkings – il s’agit de travaux de construction à grande échelle, avec l’ambition et le budget qui vont avec.
Certains des projets comprennent le parc King Salman, le site de l'Expo 2030, New Murabba (y compris le Mukaab - l'une des plus grandes structures du monde, en forme de cube de 400 mètres) et Qiddiya, une nouvelle ville de divertissement massive.
Le projet The Line de NEOM a fait couler beaucoup d'encre, et sa taille et son envergure ont été revues à la baisse. Compte tenu de l'ambition, voire de l'extravagance, des plans initiaux, cela n'a rien de surprenant.
Toutefois, cette réduction ne doit pas être confondue avec un ralentissement de l’activité de construction en Arabie saoudite dans son ensemble ; c’est plutôt le contraire.
Ce rédacteur s'est rendu pour la première fois en Arabie saoudite à l'invitation du mégaprojet de Diriyah, d'un montant de 63,5 milliards de dollars, qui vise à transformer un site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en une destination touristique et hôtelière florissante. Les travaux de construction devraient être réalisés dans les délais et le budget impartis. Parmi les projets de Diriyah figurent un opéra de 1,4 milliard de dollars, un parcours de golf conçu par Greg Norman et des hôtels Armani et Ritz-Carlton.
Trois points clés à retenir sur le secteur de la construction en Arabie saoudite
La construction en Arabie saoudite est à grande échelle

Sur l'un des chantiers de construction de Diriyah, on a signalé 83 grues à tour en activité – un nombre record pour un seul projet dans la région, selon certains. Tant qu'on n'a pas vu ces chantiers de ses propres yeux, il est difficile d'en décrire précisément l'ampleur.
Lors d'une conférence de presse, Kiran Jay Haslam, directeur marketing de Diriyah, a révélé : « Nous avons actuellement environ 51 000 travailleurs sur le site. Ce chiffre augmente constamment, je dois donc toujours vérifier les chiffres les plus récents. »
« Lorsque nous avons démarré ce projet, nous comptions 12 000 personnes, et la construction s’accélère à mesure que nous avançons vers la Vision 2030 et l’Exposition universelle 2030, dont Diriyah est un élément important. »
Le pouvoir du Fonds d'investissement public saoudien
Le Fonds d'investissement public (FIP) d'Arabie saoudite est l'un des plus importants fonds souverains au monde. La plupart des mégaprojets du pays disposent de leurs propres structures de gestion et de propriété et sont rattachés au FIP. Il arrive cependant que le FIP gère lui-même certains projets.

La taille et les ressources considérables du PIF sont l’une des raisons pour lesquelles, selon Haslam, le projet de Diriyah a pu respecter les délais et le budget.
« Nous travaillons en étroite collaboration avec tous les ministères, et le PIF veille à ce que les projets pertinents soient prioritaires et disposent des ressources nécessaires. »
Comme ailleurs, le secteur de la construction en Arabie saoudite est confronté à des problèmes de pénurie de main-d'œuvre. Avec autant de projets menés simultanément, le risque de manquer de travailleurs qualifiés est toujours présent. Cependant, ce risque est atténué par la présence d'une autorité centrale – le PIF – qui supervise tous les projets et veille à la répartition des ressources nécessaires au bon déroulement des travaux.
L'Arabie saoudite a de nombreuses ambitions

La Vision 2030 a été le moteur d'une grande partie de l'activité de construction en Arabie saoudite, alors que le pays cherche à diversifier son économie en s'éloignant du pétrole et à s'établir comme un centre mondial de tourisme et de divertissement, à l'instar de Dubaï.
Ce qui est intéressant en discutant de manière informelle avec les gens du pays, c'est de voir combien d'entre eux pensent que Vision 2030 – la date limite pour de nombreux mégaprojets actuels – ne marquera pas la fin de ce boom de la construction.
Plusieurs personnes ont suggéré que l’Arabie saoudite envisagerait, dans un avenir pas trop lointain, la prochaine phase de son développement – peut-être Vision 2040 ou 2050.
Bien que ces opinions ne soient évidemment pas officielles, elles offrent un aperçu de la façon dont les habitants du pays voient l’avenir : l’Arabie saoudite n’a pas encore vu le dernier de ses mégaprojets, et de loin.
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